Aides à l’arrêt
De manière générale, avant toute utilisation, il est bon de demander conseil à votre médecin qui appréciera votre degré de dépendance à la nicotine (test de Fagerström) et déterminera si la substitution nicotinique est indiquée dans votre cas. Il adaptera la dose et la forme de substitution à vos besoins et à vos désirs. Vous pouvez aussi vous renseigner auprès de votre pharmacien, car la plupart de ces produits sont en vente libre.
Il existe plusieurs types de substituts : chewing-gum (2 ou 4 mg – goût menthe, traditionnel ou aux fruits), timbre transdermique ou patch (5, 10, 15 mg en 16 heures 7, 14, 21 mg en 24 heures), inhaleur (10 mg), comprimés sublinguaux (2 mg) ou à sucer (2 ou 4 mg).
Chaque substitut a ses indications, ses avantages et ses inconvénients. Il est indispensable d’utiliser d’abord la dose classique, puis de l’adapter si nécessaire. Dans certains cas, il faut associer la forme continue (le patch) et d’autres formes plus flexibles comme le chewing-gum ou le comprimé, avec l’accord du médecin.